La partie la plus difficile concernant l’écriture d’un livre est assez simple à maîtriser : Il s’agit de commencer ! Commencer un livre ! Prenez votre stylo, ou votre logiciel de traitement de texte, et oui, commencer réellement à écrire, rédiger, se documenter, bref, passer à l’action. Ce dossier vous présente 10 étapes concrètes pour écrire un livre dans les meilleures conditions, ainsi que 10 étapes bonus vous permettant d’optimiser les actions nécessaires à la rédaction d’un document de qualité.
Cela a été confirmé à plusieurs reprises, les plus grands écrivains vous le diront, vouloir écrire un livre, est une très bonne chose. Le faire en est une autre. Les livres ne s’écrivent tout seuls ! Il est nécessaire de vous investir à 100% afin de rédiger un livre de qualité, attractif et surtout intéressant. Peut-être rêvez-vous de faire de l’écriture votre métier, de communiquer des choses importantes, dont le monde aurait éventuellement besoin ? Mais… pour être auteur reconnu, le processus est loin d’être aisé. Il nécessite rigueur et persévérance, et également beaucoup de temps et de créativité.
Pour commencer, ne pensez pas pouvoir écrire un livre entier, juste en vous asseyant devant votre machine. L’écriture d’un livre ne débute pas, ne se fait pas réellement de cette manière. Vous allez plutôt écrire une première phrase, puis un premier paragraphe, peut-être même un chapitre entier, car l’écriture d’un livre se fait petit à petit, au fur-et-à-mesure du temps, et au fil de vos idées. C’est un processus, long et structuré, mais qui aboutit très souvent à une satisfaction des plus appréciables.
La méthode en elle-même, permettant une écriture qualitative, n’est pas compliquée ou difficile à manier. Elle doit être appliquée pas à pas. En résumé, il faut tenir sur la longueur, il s’agit là de la première qualité de l’écriture d’un livre.
Nous allons décrire en détail, dans les chapitres suivants, les étapes fondamentales que vous devez respecter pour écrire un livre de qualité. Cette méthode a été travaillée, éprouvée, et rendue accessible, le long de nombreuses années, afin qu’elle puisse être compréhensible de toutes et tous, et afin de permettre une progression constante et efficace. Analysons la situation dans son ensemble ; Que faut-il faire pour écrire un livre ? Et bien 3 phases distinctes sont à respecter :
Au début : Démarrer. Commencer. S’atteler à la tâche, bref, mettre les mains dans le cambouis ! Cela semble tellement évident, et pourtant beaucoup pensent à écrire un ou plusieurs livres, en parlent, en discutent, mais jamais n’agissent ! Choisissez un thème, un sujet, essayez d’entrevoir la manière dont vous aller écrire votre livre, puis agissez !
Puis, rester motivé : Une fois que vous aurez commencé à écrire, vous serez confronté au doute, aux paroles néfastes de certains, à la quantité de travail que vous devez vous imposer. Anticiper est la meilleure manière de ne pas succomber à ces problématiques souvent rencontrée par les rédacteurs, écrivains et autres adeptes de l’écriture. Rédiger puis publier un livre n’est pas chose aisée.
Achever votre œuvre : Personne n’est, ou ne sera intéressé par le livre que vous être en train d’écrire, ou que vous avez l’intention d’écrire. Les gens souhaitent lire votre œuvre littéraire terminée, ce qui signifie que quoi qu’il arrive, ce qui fait de vous un bon écrivain, un bon rédacteur, c’est votre capacité à démarrer un projet d’écriture, mais surtout à le terminer. Vous trouverez ci-dessous 10 conseils simples à appliquer, liés aux phases précédemment décrites, ainsi que 10 conseils supplémentaires vous permettant d’affiner d’emblée vos écrits, et de faire de votre livre un succès.
Nous devons bien commencer quelque part. Alors commençons ! Pour l’écriture d’un livre, la première phase comporte quatre parties à respecter à la lettre :
L’écriture d’un bon livre, c’est toujours et d’abord un sujet porteur et ses personnages. Tentez de faire une phrase courte incluant le sujet de votre futur livre dans sa globalité. Puis, essayez de « faire grossir » cette première phrase, pour en faire un paragraphe, pour évidement, en essayer d’en faire une page, peut-être même un chapitre. Une fois ce premier exercice réalisé, créez une table des matières, sorte de colonne vertébrale de votre récit (ligne éditoriale), afin de vous guider tout au long de vos séances d’écriture. Faites en sorte de diviser votre contenu en chapitres distincts et structurés. Pensez au début de votre histoire, à son déroulement, puis à son épilogue. Évitez de trop compliquer la structure de votre livre au départ. Quelques idées : vous pouvez revisiter à vitre sauce un mythe Grec, raconter une partie de votre propre histoire ou encore décrire l’aventure d’une connaissance.
Un exemple : John Grisham a débuté sa carrière d’écrivain en tant qu’avocat, et jeune papa, autant dire qu’il était particulièrement occupé. Néanmoins, il se levait une ou deux heures plus tôt chaque matin, et écrivait une page par jour. Après quelques mois, il avait un premier roman, dont on connaît le succès. Rédiger une page par jour, c’est coucher sur papier (virtuel ou non ! livre papier ou édition numérique selon votre choix) environ 300 mots seulement. Vous n’avez pas besoin d’écrire beaucoup plus quotidiennement. Pas la peine d’écrire un roman tout de suite ! L’astuce est de rédiger de manière régulière. Il est nécessaire de prendre de bonnes habitudes d’écriture, afin d’atteindre un rythme de production intéressant. Fixer un objectif quotidien vous permettra d’avancer de la meilleure manière qui soit, et cela continuera à vous motiver afin d’aboutir. Aussi, définissez un objectif quotidien d’écriture réaliste, afin de vous permettre de d’atteindre chaque jour sans soucis.
La cohérence facilite la créativité. Vous avez besoin d’un horaire quotidien, sorte d’habitude chronologique, pour réaliser votre travail de la bonne manière. C’est ainsi que vous arriverez à terminer votre livre. N’hésitez pas à faire des pauses d’une ou deux journées si vous le souhaitez, mais planifiez vos séances d’écriture à l’avance. Par contre, il est impératif, pour écrire un livre efficacement, de ne pas manquer de séances planifiées ; c’est le risque de « décrochage ». Planifier régulièrement et convenablement vos séances d’écriture (horaires et durée) vous évitera de trop focaliser, justement, sur ces mêmes séances. Quand il est temps d’écrire, il est temps d’écrire !
Qu’il s’agisse d’un bureau, d’un restaurant, ou même d’une table de cuisine, peu importe l’endroit choisi pour écrire un livre. Il doit simplement être différent de l’endroit où vous effectuez d’autres activités. Faites de votre lieu d’écriture un espace spécifique, de sorte que lorsque vous y entrez, vous êtes prêt à travailler, dans un autre univers, un univers dédié. Cela devrait vous rappeler, à chaque séance, votre engagement et votre volonté à terminer ce livre. Encore une fois, l’objectif ici est de ne pas penser intensément, mais de simplement commencer à écrire, efficacement. Soyez épaulé(e) également au travers d’une formation à l’écriture adéquate.
Maintenant, il est temps de passer aux choses sérieuses. Ici, nous allons nous concentrer sur les trois aspects suivants vous permettant d’écrire votre livre :
Commencer en ayant la fin de votre livre à l’esprit. Une fois que vous avez commencé à écrire, vous avez besoin d’un nombre total de mots pour votre livre. Imaginez des groupes de 10 000 mots, et essayez de diviser le tout en chapitres de longueurs à peu près égales. Voici quelques chiffres de base :
a) 10 000 mots = une brochure, un manuscrit ou un livre blanc d’entreprise. Temps de lecture = 30-60 minutes.
b) 20 000 mots = eBook ou essai court. Temps de lecture = 1-2 heures.
c) 40 000 – 80 000 mots = livre ou roman standard. Temps de lecture = 3 à 6 heures.
d) 80 000 – 100 000 mots = livre de fiction ou long roman. 4 à 8 heures de lecture.
e) 100 000 mots et plus = roman épique / livre académique / biographie. Temps de lecture estimé moyen = six à huit heures.
Un conseil : ne vous lancez pas dans l’écriture d’un roman d’emblée. être publié du premier coup est très rare.
Vous avez besoin d’objectifs hebdomadaires également. Faites en sorte que le total de mots produits chaque jour, corresponde à un objectif global et hebdomadaire. Cela vous permettra de tirer une satisfaction intermédiaire et motivante pour la suite des opérations. Avoir des objectifs sur plusieurs niveaux (quotidiens, hebdomadaires) c’est vous garantir la possibilité d’aboutir. Il s’agit là de la méthode la plus connue et appliquée dans le monde de l’édition.
Même en phase d’écriture de votre livre. Rien de pire que d’écrire un livre… puis devoir tout recommencer, tout simplement parce que vous n’avez laissé personne le lire, même partiellement. Demandez à quelques personnes fiables, de confiance, de vous aider à mieux cerner le sujet de votre livre. Ces lectures peuvent provenir de votre milieu familial, de professionnels, ou encore de vos cercles amicaux. Demandez à votre libraire par exemple ! Cherchez les critiques constructives, et commentaires utiles, afin de confirmer que vous allez dans la bonne direction. Votre conte de fée, votre mythe ou légende, ne sera pas parfait du premier coup.
Vous pensez avoir terminé votre livre ? Écrire, c’est terminé ? Réponse rapide : non. Pas vraiment. Voici donc la suite des opérations afin de mener à bien l’entier processus d’écriture d’un livre :
Votre objectif est atteint, mais ne complète pas la mission dans sa globalité. La tâche fut ardue, longue, et peut-être même parfois pénible. Malheureusement, le travail n’est pas encore tout à fait terminé. Il faut que votre œuvre soit connue de tous ! Pour cela, engagez une négociation avec un ou éditeur, ou un groupement d’éditeurs, une maison d’édition (présentez vos manuscrits), publiez votre livre sur Amazon, faites tout ce que vous devez faire pour que votre livre (ce travail laborieux, long mais finalement plein de satisfaction) soit lu. Les libraires sont également friands de nouveautés littéraires, autant pour la critique que pour bénéficier de la primeur des textes. Vous avez aussi la possibilité de jouer la carte de l’auto-édition (éditer soit-même son livre), mais il vous faudra d’autres moyens. Surtout n’abandonnez pas maintenant, ne le rangez pas dans un dossier de votre ordinateur, ou encore dans votre tiroir. La pire chose serait que vous arrêtiez votre ascension alors que votre livre existe, enfin ! Vous n’en ressentiriez que de la frustration tardive, et cela n’impactera pas positivement votre personne. Bref, vous ne serez alors jamais en mesure de partager vos idées, vos envies, vos volontés, avec le monde.
Alors que vous approchez de la fin de ce projet chronophage, il est toujours possible de devoir affronter un échec. Acceptez cet échec, si échec il y a. Acceptez la critique positivement, pour mieux faire la prochaine fois, car oui, il y aura une prochaine fois, avec ou sans succès. Cela permet de progresser, d’anticiper, de monter en puissance.
La plupart des auteurs ont énormément de mal à communiquer sur leur premier livre, certainement par peur de l’échec, ou encore par pur complexe. Mais si ce premier livre a été écrit, c’est qu’il y a une raison. Une volonté, peut-être même une passion de l’écriture. Sans ce premier livre, vous n’auriez pas l’occasion de tirer un enseignement, que vous pourriez alors ensuite mettre en application. Alors, n’hésitez plus, si nécessaire, échouez tôt, puis réessayez. C’est la seule façon de s’améliorer. Vous devez vous entraîner, ce qui signifie que vous devez continuer à écrire, quoi qu’il advienne. Chaque écrivain, ou passionné d’écriture, a commencé quelque part, sur un sujet quelconque. Ont essuyé des échecs, avec trop peu de lecteurs. Puis ont recommencé, puis abouti au succès. Chaque année, des millions de livres en cours d’écriture restent inachevés. Des livres qui auraient pu aider des gens, apporter de la beauté ou de la sagesse à ce monde. Mais ces œuvres inachevées n’ont jamais vu le jour. Et la raison est toujours la même : l’auteur a démissionné. Il ne connaîtra jamais les maisons d’édition…
Peut-être avez-vous été dans ce cas. Vous avez commencé à écrire un livre mais ne l’avez jamais terminé. Un blocage, une panne d’écriture peut vite arriver. Ou pire encore, vous avez terminé votre livre, mais vous ne saviez pas quoi en faire par la suite ! Ou, vous avez écrit un livre, mais personne ne désirait, ou n’était tenté de le lire. Cela peut arriver. Mais ce n’est pas fatal. Cela permet même de progresser à condition que vous cherchiez à savoir pourquoi cet échec s’est produit. De nombreux auteurs ont dû subir plusieurs échecs avant de connaître la gloire et la notoriété. Avant de pouvoir lancer un best-seller, vous devez d’abord en écrire un, et vous gaufrer lamentablement ! Il est nécessaire de comprendre que beaucoup trop d’écrivains en herbe pensent s’assoir, et écrire d’emblée un best-seller, en intégrant mécaniquement toutes les composantes qui font le succès des plus grandes œuvres. Asseyez-vous et écrivez. Puis plantez-vous. Analysez et recommencez, mieux. Entourez-vous de personnes aux critiques franches et constructives.
Aussi, tout écrivain qui se respecte possède une méthode bien établie, en laquelle il peut se fier. La méthode type à succès n’existe pas. La méthode que vous allez utiliser pour écrire un livre, sera bien évidement, différente de celle d’un autre auteur. Et ceci, on ne vous l’enseigne nulle part. Écrire un livre qui se vend, ce n’est pas votre ego qui se lance dans un projet qui fera de lui (ou vous) un auteur à succès. Il s’agit de trouver une idée originale qui vous passionnera, autant qu’elle exacerbera un public. Il est donc nécessaire d’intégrer une réflexion globale sur l’ensemble du processus tout en ayant la responsabilité de vous auto-motiver.
En d’autres termes, le processus permettant d’écrire un livre est précis et minutieux. Votre objectif devient multiple : Vous devez non seulement terminer votre livre, mais en écrire un digne d’être vendu. Et si vous voulez maximiser vos chances de terminer votre livre, vous avez besoin d’une méthode efficace. Écrire un livre vous permet de clarifier vos intentions, et de fournir une immensité d’opportunités permettant d’avoir, au final, un certain impact, direct ou indirect, sur le monde.
Un coup de mou ? Besoin d’une aide supplémentaire afin de terminer votre œuvre ? Si vous avez besoin d’un coup de pouce de plus pour rester motivé, voici 10 autres conseils afin de vous permettre d’atteindre tous les objectifs liés à l’écriture de votre premier livre :
Ne vous tuez pas à la tâche, préférez la qualité à la quantité. Une méthode sympa consiste à écrire un chapitre, puis à le partager avec vos abonnés (Réseaux sociaux, listes de diffusion, lettres de nouvelles etc…) afin d’en obtenir des retombées rapidement, et corriger si nécessaire.
L’idée d’écrire un chef-d’œuvre de 500 pages peut être paralysante. Au lieu de cela, écrivez un petit livre de poèmes ou d’histoires. Les longs projets sont intimidants. Commencer petit. Puis progresser.
Obtenir au plus tôt des commentaires, avis et critiques, aide souvent à éviter les erreurs trop flagrantes. Créez un site Web simple de type blog, et utilisez-le pour écrire votre livre, pas à pas, un chapitre à la fois. Puis publiez par la suite l’ensemble en version papier. Il s’agit là d’un blog un peu différent que ceux que l’on retrouve traditionnellement sur le web, mais les mêmes principes s’appliquent.
Une liste dans laquelle il vous sera possible d’ajouter vos nouvelles idées, concepts, phrases clés. Cela vous permettra non-seulement de rester cohérent avec l’histoire de base du livre que vous écrivez, mais également de ne rien rater ou oublier. Par ailleurs, lisez, souvent, et faites ressortir de ces séances de lecture de nouvelles idées à conserver sur cette liste qui vous sera très utile par la suite.
Les quotidiens papiers, journaux et autres magasines, informent, mais aussi inspirent, par les actes et faits du quotidien, partout autour de notre bonne vieille planète. Si certains titres vous inspirent, et qu’ils génèrent un ou plusieurs chapitres lors de l’écriture de votre livre, n’hésitez pas à conserver des photocopies ou des numérisations des pages de ces journaux afin de les utiliser comme illustrations. Vous pourriez même peut-être vendre un jour une édition « luxe » de votre livre, accompagnées de versions photocopiées du journal qui vous a inspiré certaines idées !
Certains jours, écrire est un jeu d’enfants. Certains autres, il est incroyablement difficile de coucher quoique ce soit sur votre écran ou votre feuille. La vérité est la suivante : l’inspiration n’est qu’un sous-produit de votre travail acharné. Vous ne pouvez pas vous fier à l’inspiration. Car cette dernière est particulièrement aléatoire, le syndrome de la page blanche est fréquent. Elle reste nécessaire, vous en avez besoin, mais si un jour, cette dernière n’est pas présente, et bien ne forcez pas les choses. Demain, elle sera là.
Un auteur connu disait : « Il y a une raison principale pour laquelle nous tergiversons : cela nous soulage du stress. » Si vous êtes constamment stressé par votre livre inachevé, vous finirez par succomber, et abandonner votre œuvre en cours d’écriture. Pour éviter cela, planifiez des pauses fixées à l’avance, afin de rester « frais » : des pauses de cinq minutes, d’une heure et plusieurs fois dans une journée.
Lorsque vous vous sentez d’attaque, prêt à écrire plusieurs chapitres d’affilés, le tout avec une motivation forte, ne vous laissez pas distraire par les mails, textos, et autres appels ou messages. Restez focus. Ne vous laissez pas perturber, concentrez-vous afin de ne rien omettre, de ne rien laisser au hasard.
Si vous avez du mal à écrire de manière autonome, écrivez où d’autres personnes travaillent ou écrivent. Un café ou une bibliothèque, un lieu de travail, ces lieux peuvent être d’une grande aide. Si vous êtes dans un endroit où d’autres personnes font avancer les choses, vous n’aurez pas d’autre choix que de les rejoindre dans leur action, et faire de même. Autre idée: participez à un atelier d’écriture ? (Les ateliers d’écriture sont une excellente manière de progresser rapidement).
Dans un premier temps, écrivez, sans corriger, sans modifier, sans jugement, puis après un court laps de temps, améliorez et adaptez. Votre flux de production sera ininterrompu, et vous ne vous stopperez pas vous-même par votre sens critique et sur votre propre travail. Du coup, vous aurez beaucoup plus à modifier et adapter lorsque le moment sera venu de le faire, lors de la relecture. Il s’agit de relire le tout en fin de travaux, afin d’apporter une meilleure mise en forme, une mise en page plus claire, et les corrections adéquates à votre publication.
Nous espérons que ce guide vous permettra de mettre le pied à l’étrier, et pourquoi pas, de nous faire part de vos œuvres.